ViveS : le Forum 2023
Après une première édition réussie en mars 2022, notre prochain forum se déroulera le 19 avril prochain.
On s’y retrouve ?
À quand remonte la dernière fois où vous avez montré votre vulnérabilité au travail ? Où vous avez fait part d’une difficulté à votre manager ? Où vous avez pleuré ? Je suis prête à prendre le pari que vous avez du mal à vous en souvenir… Et pour cause ! La vulnérabilité n’est a priori (et j’insiste) pas compatible avec le monde du travail. Un univers où la performance est le maître-mot. Un univers où la moindre petite faille pourrait – pense-t-on – nous être fatale. Alors on se tait. Pas un mot sur ce qu’on traverse de difficile. Le silence est d’or, n’est-ce pas ?
Je voue une passion à la vie rurale et au monde agricole. Au point d’y vivre et d’en faire un objet de travail. Ainsi, j’ai suivi Stéphanie Maubé durant des mois afin d’écrire un livre avec elle. J’ai partagé le quotidien de cette éleveuse d’agneaux de prés-salés de la baie du Mont-Saint-Michel, installée dans le Cotentin. J’ai interrogé son engagement et son statut de néo-paysanne.
Connaissez-vous l’histoire du tuyau percé ? C’est une image pour décrire le parcours des filles dans les filières STIM (science, ingénierie, technologie et mathématiques). Au fur et à mesure du cursus scolaire, puis universitaire, il y a une disparition progressive des filles de ces filières, qui sont sélectives et compétitives. En bout de course, il ne reste plus que 4 femmes pour 10 hommes diplômées en STIM. Mais revenons au début de l’histoire pour comprendre d’où viennent ces différences entre les hommes et les femmes. Les filles seraient-elles moins fortes en maths que les garçons ?
« Bonjour, ici Isabelle Delair votre commandant de bord… »
Reconnaissons-le, il n’est pas fréquent d’entendre cette phrase quand on prend l’avion ; et pour cause : chez Air France par exemple, les femmes représentent seulement 9% des pilotes, alors qu’elles sont plus d’un tiers parmi les cadres des personnels au sol et même deux-tiers parmi les personnels navigants commerciaux, les fameux PNC, plus connus sous le nom d’hôtesses de l’air, puisque les stewarts eux sont minoritaires.
En 2050, une femme sur deux sera ménopausée en France. Aujourd’hui, les femmes de plus de 50 ans (c’est l’âge moyen de la ménopause, un processus qui dure plusieurs années) forment déjà une catégorie démographique nombreuse et en croissance. Pourtant elles restent moins visibles dans les médias. Elles subissent des discriminations au travail. Et la ménopause reste un sujet tabou qui peine à faire son entrée dans le monde du travail français.
Quand on évoque le sujet de l’égalité femmes-hommes au travail, on pense spontanément au partage du pouvoir (les quotas aux conseils d’administration ou aux postes de direction, par exemple) et au principe « à travail égal, salaire égal ». Tout cela est important : les postes de pouvoir ne sont pas assez mixtes et il y a encore trop de femmes moins payées que leurs collègues pour le même travail. Mais en réalité, ces deux choses n’expliquent qu’une petite partie des inégalités de genre au travail.
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Examiner les requêtes Google fait partie de mon métier. Vous savez, découvrir quels sont les mots-clés les plus cherchés par les internautes. Ma dernière trouvaille : la recherche Google « changer de carrière » a augmenté de 202% depuis le confinement ! Faramineux non ?
Pour se reconvertir professionnellement, les femmes sont des championnes. Selon une étude du ministère du travail, elles ont une probabilité de changer de métier supérieure de 6 points à celle des hommes. Parmi celles qui mettent leur carrière entre parenthèses pour prendre soin d’un enfant ou d’un parent, beaucoup n’hésitent pas à repartir de zéro quand elles retournent à la vie active à temps plein. Elles remettent leurs acquis en question, font des bilans de compétence et font même des stages pour « trouver leur voie ».
Je trouve qu’on devrait rebaptiser la salle de bains en « salle des idées ». Je ne sais pas pour vous, mais, pour moi, les « éclairs de génie » que je peux avoir me viennent souvent sous la douche… Mi-endormi, mi—réveillé, mon esprit s’autorise à me livrer ses meilleures solutions.
La diversité femmes-hommes est devenue un incontournable dans toute la société. Il n’y a pas un chef d’entreprise, un financier ou un dirigeant politique à qui on ne demande des comptes sur la diversité du groupe dont il s’entoure. De moins en moins de gens tolèrent la surreprésentation des hommes dans les médias, dans la vie politique ou encore dans le monde de l’entreprise.
C’était il y a un peu plus d’un an. J’avais mené à bien un projet chez mon employeur de l’époque. Façon intrapreneuriat comme on dit maintenant : 18 mois de travail de l’idée à la réalisation, avec la bénédiction de la direction mais un minimum de moyens. Tout le monde était content, l’entreprise qui pouvait valoriser une initiative, moi qui avais pu concrétiser une intuition. Mais soudain, effet de la crise sanitaire et d’un changement de stratégie, le projet en question n’intéresse plus les actionnaires. Alors que l’essai commence à être transformé et qu’il demande un investissement conséquent, en temps surtout.
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Le 8 mars dernier, Sibylle Le Maire, Directrice exécutive du groupe Bayard et fondatrice de ViveS, était l’invitée d’Hedwige Chevrillon pour la Grande Interview sur BFM Business
Vous avez raté le forum 2022 ou souhaitez (re) découvrir une séquence ? C’est par ici !
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